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" J'irai au bout de mes rêves, contre vents et marrées".  

Nono Miwa

Dans la grande tradition des femmes africaines bercées dès leur plus jeune âge dans la musique, Nono Miwa, auteure, compositrice, interprète, née d’une mère togolaise et d’un père béninois, possède déjà une longue carrière sur scène.

 

Ambassadrice de l’Elézo togolais, du zouk et du Highlife ghanéen sur ses titres personnels, elle interprète avec autant de justesse les plus grands succès jazz, blues et soul, du répertoire afro-américain. Un talent multiforme qu’elle démontre aussi en tant qu’actrice.

Regard assuré, voix caléidoscope prenant toute la douceur d’un « Summertime » langoureux, ou rocailleuse à souhait sur un « what’s a difference a day makes », Nono Miwa donne avec justesse les souffrances et les joies de cette musique aux racines métissées. Dans un style tout aussi délicat, elle se remémore les chansons françaises entendues dans sa jeunesse et la black attitude s’efface pour un « Hymne à l’amour » ou un « Milord », que la môme Piaf ne renierait pas.

Son 1er album, « L’Amour est un œuf », sortira en 1998. Cet album lui valut le Benin Golden Awards 1998, et le même prix, mais l’année suivante, pour le clip. Issue d’une famille dont presque tous les membres sont musiciens, elle leur dédie ses victoires.

De l’Afrique de l’Ouest, elle a gardé les variations rythmiques ensoleillées, les harmonies, les sonorités… De la France, où elle s’installe en 1999 après de nombreux allers et retours, elle sculpte ses textes d’un vocabulaire ciselé. Le public parisien en prendra conscience lors d’une soirée à l’Olympia, le 30 septembre 2007, où elle partage la scène avec le groupe antillais Tabou Combo.

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